Quelle est la supercar la plus chère ?

De la Mercedes 300 SLR record à la Lamborghini Veneno, certaines supercars atteignent des sommets vertigineux. Découvrez quelles sont les plus chères et pourquoi, pour ce type de modèles, l’importation n’est pas toujours la meilleure option.

Les voitures d’exception aux prix les plus fous

Avant d’entrer dans la course aux records, revenons aux bases : qu’est-ce qu’une supercar “la plus chère” ? S’agit-il du prix neuf annoncé, du prix aux enchères, ou de la valeur en collection ? Le choix dépend du contexte, mais les records les plus frappants se trouvent souvent dans les ventes aux enchères. Pour ne pas se perdre dans les chiffres, nous vous invitons à lire Comment choisir une supercar ? pour bien poser vos critères.

Le record absolu : Mercedes-Benz 300 SLR Uhlenhaut Coupé

En mai 2022, une Mercedes-Benz 300 SLR Uhlenhaut Coupé (1955) a été vendue aux enchères pour 135 millions d’euros (correspondant à environ 142 millions de dollars avant commissions).

Ce modèle est exceptionnel tant par sa rareté que par son statut historique. Il ne correspond pas aux supercars modernes au sens strict, mais il cristallise le sommet du marché : rareté extrême, importance historique, prestiges mécaniques.

Supercars “modernes” les plus chères

Si l’on parle de supercars récentes, quelques noms reviennent souvent :

  • Rolls-Royce Boat Tail : cette pièce de carrosserie ultra-luxueuse est considérée comme l’une des voitures neuves les plus chères jamais produites, à environ 28 millions de dollars.
  • Lykan HyperSport : produite en très petite série (7 exemplaires), la Lykan HyperSport était annoncée autour de 3,4 millions de dollars à sa sortie.
  • Lamborghini Veneno : souvent dans les listes des supercars les plus coûteuses, la Veneno avait un prix de lancement extrêmement élevé (près de 4,5 millions de dollars) pour célébrer l’anniversaire de Lamborghini.


Ces modèles sont des exceptions et souvent produits à très faible volume, ce qui fait grimper leurs prix bien au-delà de ce qu’un import “ordinaire” pourrait justifier.

Pourquoi l’importation est souvent peu pertinente pour les records extrêmes

Pour des supercars se chiffrant en millions, l’importation “classique” perd de sa pertinence pour plusieurs raisons :

  • Les droits de douane, frais de transport, taxes et assurances peuvent représenter une part non négligeable du coût global, réduisant l’économie potentielle.
  • Le marché de ces voitures est déjà internationalisé les modèles rares voyagent souvent via des réseaux privés spécialisés, pas via un import standard.
  • La logistique, l’homologation, les normes locales (émissions, sécurité) peuvent exiger des modifications coûteuses ou même rendre l’immatriculation impossible selon le pays.


Pour ces supercars ultra haut de gamme, l’achat se fait souvent via des réseaux de collectionneurs, des ventes privées ou des maisons d’enchères, plutôt que par import traditionnel.

Quand l’import reste judicieux : les supercars “plus modestes”

Toutefois, pour des supercars “moins extrêmes” en d’autres termes : modèles secondaires ou de génération précédente l’importation peut être un levier très intéressant. On pense à des Ferrari plus anciennes, des Porsche 911 GT (versions limitées), des McLaren de quelques années, ou des Audi R8, Lamborghini Gallardo ou Huracán bien équipées. Pour ces modèles, l’import peut :

  • offrir une meilleure configuration (options rares, version plus sportive)
  • réduire le kilométrage moyen ou accéder à des versions mieux conservées
  • élargir le choix d’inventaire au-delà du marché national

Avec Courtage Auto, nous analysons ce qui vaut vraiment la peine d’importer, en vérifiant l’historique, les coûts secondaires (douanes, homologation) et en assurant que le projet reste rentable.

Contactez-nous dès maintenant pour évaluer les supercars accessibles à l’import, et trouver un modèle exceptionnel sans vous perdre dans les frais cachés.

Cet article vous a plu ? Découvrez-en d’autres :